Commentaires sur l'offre de formation existante :
- Les diplômes permettant l'accès direct au métier sont :
- BEP CAP menuiserie ou en milieu industriel
- CAP / BEP
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Toutes les ressources présentes ici proviennent des études menées par l'Observatoire de la métallurgie depuis 2012. Vous y retrouverez l'essentiel : l’évolution des métiers, des compétences et des qualifications dans les différents secteurs de la métallurgie.
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Commentaires sur l'offre de formation existante :
Commentaires sur l'offre de formation existante :
Commentaires sur l'offre de formation continue :
Les compétences reposent fortement sur l'expérience.
Métier d'origine : technicien contrôle qualité Passerelle possible vers le métier : technicien d'essais
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisant possible :
--> Difficulté moyenne
Commentaire sur l'offre de formation existante :
Les formations sont peu nombreuses et n'attirent pas toujours beaucoup de candidats.
Commentaires sur l'offre de formation existante :
Commentaires sur l'offre de formation existante :
Ce métier d'abord recherché dans le secteur ferroviaire attire désormais d'autres secteurs ( automobile, ...).
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Commentaires sur l'offre de formation existante :
Les principaux constats pour les industries mécaniques concernent :
Des partenariats qui se développent avec les écoles, les centres de formation, les centres de recherche.
Des pactes de « non débauchage » sont mis en œuvre au sein de certains bassins d’emploi, en revanche pas de pactes de « non embauchage » d’un candidat salarié d’une autre structure.
En synthèse : À l’image de l’ensemble des industries, les entreprises de la mécanique font face aux mêmes enjeux/souhaits pour améliorer leurs positions:
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Positionnement - engagement
Attractivité - recrutement :
En synthèse :
1/ Une transition écologique qui ne se limite pas à des obligations réglementaires, mais qui représente un véritable enjeu stratégique et l’opportunité de coconstruire de nouvelles solutions
2/ Une complexité des enjeux qui nécessite une approche transversale et systémique pour assurer l'engagement de toutes les parties prenantes
3/ Une compréhension partagée et un équilibre à trouver entre les coûts supplémentaires et le partage de la valeur, ce qui nécessite une logique partenariale vs des mises en concurrence
4/ L’engagement écologique : un facteur de différenciation positif dans le recrutement et la fidélisation du personnel, avec des impacts sur la qualité de vie et des conditions de travail pour l’industrie de demain
5/ Une implication opérationnelle avec la mise en œuvre d'actions concrètes (mesure de la consommation, création de comités RSE, remplacement de flottes de véhicules, systèmes mécaniques avec moins de friction…)
6/ Des obstacles financiers qui soulignent la complexité du processus et la nécessité d’une meilleure visibilité sur les financements, l'obtention de subventions, des démarches de conseils et d’accompagnement adaptés
7/ Un besoin d’accompagnement à la montée en compétences avec des besoins de formation croissants
8/ Une attention est à porter quant à l’équilibre entre l’exploitation du numérique au service de l’accélération de la transition écologique, et les impacts générés comme partie du problème (effets rebonds)
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Les investissements dans des installations automatisées et robotisées sont engagés. De même, la fabrication de petites séries s’appuie, à minima, sur des machines à commande numérique, limitant des investissements difficiles à amortir
L’analyse et les suggestions d’amélioration des process grâce aux data sont en cours et à poursuivre, même si les temps d’analyse peuvent mobiliser trop largement l’encadrement
L’IA est prometteuse car elle peut permettre d’accéder rapidement à des gains de productivité ou de process en s’appuyant sur capteurs connectés et données de l’ERP déjà présents dans les entreprises. Néanmoins, l’investissement nécessaire et le retour sur investissement difficiles à évaluer resteront des freins selon la taille de l’entreprise
Si de nombreuses entreprises ont engagé la formation des encadrants intermédiaires, un accent est à porter sur l’appropriation des nouvelles tendances et modes de travail, pour gagner en efficacité relationnelle et opérationnelle.
En synthèse : Les sujets d’innovation porteront donc sur :
1/ Dans un marché industriel / mécanique globalement stable, les gains de productivité sont fondamentaux pour assurer la pérennité des entreprises et leur capacité à capter des marchés et des clients.
Ces gains sont nécessairement multiformes :
2/
La modernisation du parc machine et des équipements est un véritable enjeu d’autant que les montants des investissements restent sensibles
La dématérialisation semble être un sujet maitrisé même si le suivi et la mise à niveau restent un point de vigilance
Concernant les technologies en développement (industrie du futur), si les capteurs connectés, les robots et cobots équipent de plus en plus d’installations, le renforcement de certains cas d’usages par l’intégration de la fabrication additive et de l’IA, de façon rentable, nécessite d’être examinée
3/
Les nouvelles formes de travail impactent les pratiques, exigeant une transformation managériale pour passer d'une approche verticale à une organisation plus horizontale en réseau.
Les attentes résident dans l'adoption d'un management basé sur la confiance et dans la mise en place de tuteurs reconnus pour favoriser l'intégration et la fidélisation.
Néanmoins, les candidats sont de moins en moins nombreux à se positionner sur cette fonction, pourtant essentielle à la bonne
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Une concurrence de main d’œuvre avec les pays frontaliers
Un financement des formations qui devient une préoccupation, en particulier pour les PME de plus de 50 salariés qui n’ont plus accès aux mêmes modalités depuis la réforme de la formation de 2018 : soit un risque de ralentissement dans l’accompagnement à la montée en compétences et dans la création de valeur.
Un levier de reconnaissance des tuteurs
Concernant l’alternance, elles s’orientent majoritairement vers les formations tertiaires et de vente (56%), et seulement 32% d’entre elles se dirigent vers les technologies industrielles, mécaniques, électricité et informatique (76% pour les hommes).
Les entreprises moins impactées par les départs en retraite ont anticipé le renouvellement de main d’œuvre en intégrant des alternants notamment, ou en formant du personnel interne pour assurer le transfert des savoirs et la continuité de service.
En synthèse, les industries mécaniciennent et la branche de la métallurgie, ancrent l'accompagnement des compétences comme fondamental pour s'inscrire dans une industrie forte et attractive :
1/ Attractivité, recrutement, fidélisation : Les entreprises de la mécanique sont confrontées à une pénurie de profils qualifiés, renforcée par un niveau de compétences à faire évoluer.
Cette réalité, constatée au niveau de la Branche de la métallurgie, génère une concurrence accrue entre employeurs concernant les profils les plus expérimentés, accentuée par des niveaux de rémunération et des conditions de travail insuffisamment attractifs».
La complexification des postes, des marchés et les attentes personnalisées des candidats renforcent les difficultés.
2/ Compétences, Formation, Certification : Le besoin d'acquérir des compétences spécifiques est nécessaire pour faire face à la diversification, à la pénurie de main-d'œuvre qualifiée, aux transitions numérique et écologique.
Il parait également comme crucial de renforcer l'attractivité des formations aux métiers traditionnels tout en valorisant les formations de niveau technicien.
Les difficultés liées au financement des formations représentent une problématique pour accompagner la montée en compétences des professionnels.
3/ Alternance : L'alternance émerge comme un levier de plus en plus efficace pour anticiper les besoins de recrutement, maintenir l'apprentissage des compétences traditionnelles, et introduire de nouvelles qualifications en lien avec les nouvelles technologies.
Cependant, les difficultés d'attractivité subsistent, en particulier pour les métiers techniques et manuels, renforcées par un défaut d'harmonisation des rythmes centres de formation / entreprises.
De même, l'alternance représente un réel investissement et l'incertitude sur la poursuite de la relation contractuelle après la formation demeure.
4/ Féminisation : Bien que la féminisation soit envisagée comme une réponse aux difficultés de recrutement aussi bien au niveau des entreprises de la mécanique qu’au niveau de la Branche de métallurgie, la situation reste globalement stable.
L'INSEE souligne une baisse des femmes sur les métiers peu qualifiés et une progression dans les emplois plus qualifiés par définition moins nombreux.
Les femmes occupent principalement des postes administratifs, et une représentation moindre en production . Encourager l'intérêt des femmes et diversifier les métiers accessibles apparaissent comme des solutions.
5/ Pyramide des âges : La pyramide des âges au sein de la métallurgie indique un manque de salariés de moins de 30 ans pour assurer la relève.
Les départs en retraite impactent 45% des entreprises de la mécanique, nécessitant un renouvellement de main-d'œuvre.
L'intégration d'alternants se présente ainsi comme une solution anticipatrice, mais l’attractivité des candidats demeure un défi.
Les activités électroniques liées aux industries mécaniques peuvent être liées aux machines de productions ou à l’intégration de cartes, processeurs, dans les ensembles fabriqués. Dans ce cas, les temps de développement sont souvent plus importants que les temps de réalisation.
L’ ingénierie devient donc fondamentale tout autant que la capacité à se fournir en systèmes complexes, puis à avoir les compétences d’assemblage et de réparation le cas échéant.
Les enjeux de recherche de fonctions nouvelles, de diminution des coûts, de plus d’intégration des microsystèmes, des MEMS, microsystèmes électromécaniques ( combinaisons de savoirs faire électronique, informatique, chimique, mécanique, optique et de connaissance des matériaux : silicium, métaux, polymères, ...), des nanotechnologies sont également des enjeux.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 2 points sont aussi à développer pour ce qui concerne les activités électroniques :
Développement d'un écosystème d'offreurs de solutions :
La transition écologique s’impose à toutes les filières, elle est principalement mise en place par des efforts d’efficience et d’économies sur les processus, les transports, l’énergie, les matières, ...
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour accélérer la transition écologique :
Ecosystème :
réalisant des actions locales visibles lui permettant d’attirer des profils sensibles à ces aspects
Avec les sources d’entrées dues aux machines connectées et à des systèmes intégrant des objets connectés (IIoT), les entreprises sont plus vulnérables. Les organisations les plus performantes peuvent se doter d’un service dédié ou de consultants externes – les règles d’intrusion physiques ne doivent pas être négligées.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour l’axe cybersécurité :
Partage de données clients :
Partager des données ou des outils collaboratifs en temps réel (jumeaux ; partages de données...)
Sécuriser leur supply chain (et donc mesurer la vulnérabilité globale de leur écosystème)
Pour les TPE et PME à minima appliquer les consignes suivantes : https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/secteurs-d-activite/numerique/anssi-guide-tpe_pme-cybersecurite.pdf
https://www.bpifrance.fr/sites/default/files/2021-12/Guide%20de%20cyber.pdf
Les entreprises ont su passer de machines traditionnelles aux commandes numériques et maintenant connectées voire en réseau. Si les investissements technologiques restent un sujet en termes de retour sur investissement (ROI), la maitrise de la data disponible est sans doute encore trop embryonnaire ou trop limitée aux principaux indicateurs :
Taux de Rendement Global (TRG) – (performance des lignes) y/c les arrêts planifiés ; Taux de Rendement Synthétique (TRS) : temps d’utilisation d’un outil de production (fiabilité) ; Taux de Productivité, performance des ressources / processus ; indicateurs de délais ; gestion des stocks ; et consommation des machines avec divers capteurs connectés (IIoT). Cependant la capacité à s’assurer de la fiabilité des data, à corréler les indicateurs, analyser, modifier les processus, et les communiquer requiert d’autres compétences que l’utilisation à minima d’ERP de plus en plus performants.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont à développer pour l’exploitation de la data :
Compétences : compréhension des données et simulation
Implication de l'opérateur dans la chaine de valeur :
La création de valeur pour les industries mécaniques est un enjeu stratégique qui implique plusieurs aspects tels que l’innovation, la compétitivité, la responsabilité sociale et environnementale, la satisfaction des clients.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont notamment à développer pour le renouvellement de la création de la valeur :
Piste possible : L’utilisation d’un parc machine performant combiné aux technologies numériques, (big data, robotique, ...) pour optimiser les processus, permet de réduire les coûts, d’augmenter la Valeur Ajoutée, d’accroitre son attractivité et de rester à jour de compétences.
Pistes possibles :
L'accès au marché pour les industries mécaniques dépend de la compétitivité qui regroupe les coûts de production liés à la performance industrielle, la fiscalité, l’énergie, la facilité d’approvisionnement des matières et des composants,.ainsi que de la capacité à offrir un avantage différenciant (taux de service, fiabilité, conception, innovation procédé, maitrise matériaux, R&D...)
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour faciliter l’accès au marché :
L’intégration de compétences QHSE va devenir crucial pour les entreprises, pour maitriser et/ou correspondre avec facilité aux services équivalents des donneurs d’ordres ou répondre techniquement aux marchés / appels d’offres.
Le développement de l’interculturalité s’inscrit comme nécessité, accessible via notamment la formation continue
Pistes possibles : L’intégration progressive de profils avec une appétence à se tourner vers « l’extérieur » est déterminante.
Comme dans de nombreuses filières, la montée en compétences sur des postes assistés par la machine ou en supervision de systèmes, ne doit pas occulter la nécessité pour les entreprises de disposer en nombre suffisant des métiers et/ou compétences traditionnels historiques : opérateur, régleur, technicien de forge, soudeur, chaudronnier...
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer :
Pistes possibles :
Encourager la mobilité interne sur les postes ou les rôles : pour favoriser l’engagement et la transmission
IMPACTS TRANSVERSES A TOUTES LES FAMILLES METIERS :
Du fait de la transition numérique :
Autre :
Des impacts communs avec les familles de métiers : "Concevoir-Rechercher" et "Produire-Réaliser"
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