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Les compétences reposent fortement sur l'expérience.
Métier d'origine : technicien contrôle qualité Passerelle possible vers le métier : technicien d'essais
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisant possible :
--> Difficulté moyenne
Commentaire sur l'offre de formation existante :
Les formations sont peu nombreuses et n'attirent pas toujours beaucoup de candidats.
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Ce métier d'abord recherché dans le secteur ferroviaire attire désormais d'autres secteurs ( automobile, ...).
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Dans un contexte de marchés mondialisés, relever le défi de l’ancrage territorial suppose de renforcer la performance et l’apport de valeur à tous les maillons des filières et de disposer des compétences pour ce faire.
Ce défi a partie liée avec une politique industrielle ambitieuse et un cadre européen lisible permettant de cadrer les investissements et d’assoir le renforcement de la compétitivité de l’industrie européenne.
L’ancrage industriel dans les territoires est sous pression d’une concurrence intensifiée des pays à bas coûts, de pays émergents montant en gamme et de dépendances d’approvisionnement exacerbées par les crises systémiques, notamment la crise Covid.
La crise économique liée à la Covid-19 a fragilisé des entreprises (reports de commandes, délais de paiement allongés, prospection à l’international limitée…) et s’avère d’une telle ampleur et durée qu’elle pose la question de la survie de nombre d’entreprises en particulier dans l’aéronautique civile (horizon 3-5 ans). La crise pose par ailleurs la question des possibilités de réindustrialisation pour limiter les dépendances et ne pas risquer de porter atteinte à la souveraineté de la France.
La survie à la crise économique consécutive à la Covid-19
L’Aéronautique civile est sévèrement touchée. Tous les acteurs sont impactés et les fournisseurs s’adaptent avec des conséquences sur la filière et hors filière (diversifications hors filière avec moindre compétitivité-prix, captation d’activités précédemment sous-traitées impliquant des pertes d’activités en chaîne pour certaines PME, transferts de production vers des pays à bas coûts pour maintenir la rentabilité…)
Les pouvoirs publics français et européens se doivent en tant que donneurs d’ordre, régulateurs et/ou coordinateurs de politique publique de mettre en place un cadre industriel cohérent et porteur afin de donner de la visibilité aux investissements de long terme et pour soutenir la compétitivité des acteurs européens vis-à-vis des autres zones
L'importance de la commande publique en fabrication et capacité d’innovation
Le maintien d’un certain niveau de commande sur le segment militaire est important (à travers la loi de programmation militaire et les décisions des Etats européens) afin de faciliter la compétitivité de l’ensemble de la filière et le maintien des compétences.
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
La crise économique liée à la Covid-19 a fragilisé des entreprises (reports de commandes, délais de paiement allongés, prospection à l’international limitée…) et s’avère d’une telle ampleur et durée qu’elle pose la question de la survie de nombre d’entreprises . La crise pose par ailleurs la question des possibilités de réindustrialisation pour limiter les dépendances et ne pas risquer de porter atteinte à la souveraineté de la France.
La survie à la crise économique consécutive à la Covid-19
La (ré)industrialisation dans une logique de souveraineté et résilience économique
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière Automobile, est : la diversification des activités en lien avec le déclin du diesel
La crise économique liée à la Covid-19 a fragilisé des entreprises (reports de commandes, délais de paiement allongés, prospection à l’international limitée…) et s’avère d’une telle ampleur et durée qu’elle pose la question de la survie de nombre d’entreprises en particulier dans l’aéronautique civile (horizon 3-5 ans). La crise pose par ailleurs la question des possibilités de réindustrialisation pour limiter les dépendances et ne pas risquer de porter atteinte à la souveraineté de la France.
La (ré)industrialisation dans une logique de souveraineté et résilience économique
Pour l'électronique il y a un renforcement de la production de maillons critiques de la chaîne de valeur (circuits imprimés, écrans, connecteurs industriels, certains composants électroniques passifs) au regard des activités de Défense.
Pour les marchés professionnels, il y a un développement de la conception électronique (prototypage et préséries) conférant un avantage comparatif en agilité et réactivité. Il y a un enjeu associé de reconquête de la visibilité et de la lisibilité de la filière, notamment à travers sa restructuration
Les pouvoirs publics français et européens se doivent en tant que donneurs d’ordre, régulateurs et/ou coordinateurs de politique publique de mettre en place un cadre industriel cohérent et porteur afin de donner de la visibilité aux investissements de long terme et pour soutenir la compétitivité des acteurs européens vis-à-vis des autres zones.
L'importance de la commande publique en fabrication et capacité d’innovation, pour l'électrique
Electrique : Le maintien de la commande de fibre optique produite en France est importante, et non via des importations chinoises dans le cadre de l’achèvement du plan THB (en lien avec un enjeu de souveraineté)
Electronique : Le maintien d’un certain niveau de commande sur le segment militaire est important (à travers la loi de programmation militaire et les décisions des Etats européens) afin de faciliter la compétitivité de l’ensemble de la filière et le maintien des compétences
Les pouvoirs publics français et européens se doivent en tant que donneurs d’ordre, régulateurs et/ou coordinateurs de politique publique de mettre en place un cadre industriel cohérent et porteur afin de donner de la visibilité aux investissements de long terme et pour soutenir la compétitivité des acteurs européens vis-à-vis des autres zones.
L'importance de la commande publique en fabrication et capacité d’innovation
L'implication durable de l’Etat dans le financement de la rénovation/régénération du réseau ferré, la fiabilité du système, la compétitivité du fret, apporte un appui renforcé avec le plan de relance. Il y a un enjeu de commande de matériels roulants des Régions, notamment dans le cadre de l’ouverture du marché français à de nouveaux opérateurs.
L'adaptation des actions de régulation et de coordination de l’Union Européenne
Une meilleure coordination de la R&D ferroviaire est nécessaire à l’échelle européenne, voire la mutualisation des moyens pour demeurer compétitifs face à la Chine et palier le relatif sous-investissement passé. IL y a un enjeu de cadre concurrentiel adapté dans l’accès au marché domestique (réciprocité des taux de production locale exigée)
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
Les principaux constats pour les industries mécaniques concernent :
Des partenariats qui se développent avec les écoles, les centres de formation, les centres de recherche.
Des pactes de « non débauchage » sont mis en œuvre au sein de certains bassins d’emploi, en revanche pas de pactes de « non embauchage » d’un candidat salarié d’une autre structure.
En synthèse : À l’image de l’ensemble des industries, les entreprises de la mécanique font face aux mêmes enjeux/souhaits pour améliorer leurs positions:
Les pouvoirs publics français et européens se doivent en tant que donneurs d’ordre, régulateurs et/ou coordinateurs de politique publique de mettre en place un cadre industriel cohérent et porteur afin de donner de la visibilité aux investissements de long terme et pour soutenir la compétitivité des acteurs européens vis-à-vis des autres zones.
L'importance de la commande publique en fabrication et capacité d’innovation
Le maintien d’un certain niveau de commande sur le segment militaire est important (à travers la loi de programmation militaire et les décisions des Etats européens) afin de faciliter la compétitivité de l’ensemble de la filière et le maintien des compétences
L'adaptation des actions de régulation et de coordination de l’Union Européenne
Il y a un enjeu de facilitation de la consolidation des industriels européens (cadre concurrentiel) dans un contexte de marché mondial en croissance et face à une forte concurrence soutenue par des Etats (Asie, Russie)
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière Navale, sont :
Les filières sont exposées durablement à une concurrence intensifiée sur les marchés mondiaux. Face à des pays cherchant à capter une part croissante de la valeur (notamment la Chine), à de nouveaux pays entrants très compétitifs (en provenance d’Asie du Sud-Est notamment), tous tirant les prix vers le bas la pression sur la compétitivité se fait plus forte pour les donneurs d’ordre et leurs fournisseurs : il faut créer de la valeur et/ou réduire les coûts. Dans ce contexte, les entreprises et les politiques publiques doivent agir pour maintenir et favoriser l’ancrage des industries dans les territoires.
TROIS THEMES RESSORTENT :
Le renforcement de la performance des entreprises et l'apport de la valeur
La diminution de l’écart de compétitivité-coût de l’industrie entre la France et ses voisins
il s'agit de poursuivre une politique industrielle visant à corriger les déséquilibres de compétitivité-coût vis-à-vis des
principaux pays voisins (Allemagne, Italie). L’allègement des cotisations sociales ou plus récemment la baisse des impôts de production initiée dans le cadre du plan de relance vont dans ce sens.
L'appui public aux investissements dans un cadre cohérent et de long terme
Il s'agit de maintenir et poursuivre une politique industrielle de soutien aux investissements et à l’animation du développement local, un enjeu pour l’Etat, ses opérateurs, les régions et les territoires. Ce soutien est accéléré par le plan de relance
LES FACTEURS CLES A MAITRISER, COMMUNS A TOUTES LES FILIERES DE LA BRANCHE SONT :
La décarbonation de l’économie est un pan important de la transition écologique. Ce volet fait l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics : un nombre croissant de réglementations vise à limiter l’empreinte carbone des secteurs d’activité à horizon 2050. Dans le cadre de la stratégie bas carbone nationale et européenne, plusieurs filières doivent se conformer à des objectifs de réduction des émissions de CO2 qui sont à engager à court terme et seront à poursuivre à horizon 2050. La réduction des émissions de CO2 passe par la décarbonation de la propulsion des vecteurs et l’efficacité énergétique de l’ensemble des fonctionnalités, évolutions nécessitant des technologies de rupture. Les donneurs d’ordre attendent de leurs fournisseurs une montée en compétences répondant à cette transition. L’enjeu est soutenu par le plan de relance à travers des aides aux investissements en technologies vertes.
Les efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans les transport
La réduction des émissions de CO2 renvoie à des enjeux technologiques (maturité, coûts) ayant un moindre impact environnemental (faibles émissions ou zéro émission), de contrainte d’usage (autonomie, vitesse de recharge des batteries), d’évolution des usages (écoconduite), d’infrastructures disponibles (recharge batteries, hydrogène) et de choix politique (hydrogène décarboné).
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne les propulsions alternatives
La décarbonation de l’économie est un pan important de la transition écologique. Ce volet fait l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics : un nombre croissant de réglementations vise à limiter l’empreinte carbone des secteurs d’activité à horizon 2050. Dans le cadre de la stratégie bas carbone nationale et européenne, plusieurs filières doivent se conformer à des objectifs de réduction des émissions de CO2 qui sont à engager à court terme et seront à poursuivre à horizon 2050. La réduction des émissions de CO2 passe par la décarbonation de la propulsion des vecteurs et l’efficacité énergétique de l’ensemble des fonctionnalités, évolutions nécessitant des technologies de rupture. Les donneurs d’ordre attendent de leurs fournisseurs une montée en compétences répondant à cette transition. L’enjeu est soutenu par le plan de relance à travers des aides aux investissements en technologies vertes.
Les efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans les transports
Il s'agit d'un enjeu majeur pour le transport routier qui est le mode de transport le plus émetteur de CO2 ; des objectifs contraignants à court et long termes sont à tenir.
La réduction des émissions de CO2 renvoie à des enjeux technologiques (maturité, coûts) ayant un moindre impact environnemental (faibles émissions ou zéro émission), de contrainte d’usage (autonomie, vitesse de recharge des batteries), d’évolution des usages (écoconduite), d’infrastructures disponibles (recharge batteries, hydrogène) et de choix politique (hydrogène décarboné) :
Il y a un enjeu d’accompagnement emplois, formation et passerelles au sein des entreprises de rangs 2 &3 subissant les effets des mutations technologiques (ex. repli de la production des composants liés aux motorisations diesel)
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
La décarbonation de l’économie est un pan important de la transition écologique. Ce volet fait l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics : un nombre croissant de réglementations vise à limiter l’empreinte carbone des secteurs d’activité à horizon 2050. Dans le cadre de la stratégie bas carbone nationale et européenne, plusieurs filières doivent se conformer à des objectifs de réduction des émissions de CO2 qui sont à engager à court terme et seront à poursuivre à horizon 2050. La réduction des émissions de CO2 passe par la décarbonation de la propulsion des vecteurs et l’efficacité énergétique de l’ensemble des fonctionnalités, évolutions nécessitant des technologies de rupture. Les donneurs d’ordre attendent de leurs fournisseurs une montée en compétences répondant à cette transition. L’enjeu est soutenu par le plan de relance à travers des aides aux investissements en technologies vertes.
Les efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans les transports
Il s'agit d'un enjeu majeur pour le transport routier qui est le mode de transport le plus émetteur de CO2 ; des objectifs contraignants à court et long termes sont à tenir.
La réduction des émissions de CO2 renvoie à des enjeux technologiques (maturité, coûts) ayant un moindre impact environnemental (faibles émissions ou zéro émission), de contrainte d’usage (autonomie, vitesse de recharge des batteries), d’évolution des usages (écoconduite), d’infrastructures disponibles (recharge batteries, hydrogène) et de choix politique (hydrogène décarboné).
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne les tests train hydrogène et démonstrateur 100% batterie en 2025
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Positionnement - engagement
Attractivité - recrutement :
En synthèse :
1/ Une transition écologique qui ne se limite pas à des obligations réglementaires, mais qui représente un véritable enjeu stratégique et l’opportunité de coconstruire de nouvelles solutions
2/ Une complexité des enjeux qui nécessite une approche transversale et systémique pour assurer l'engagement de toutes les parties prenantes
3/ Une compréhension partagée et un équilibre à trouver entre les coûts supplémentaires et le partage de la valeur, ce qui nécessite une logique partenariale vs des mises en concurrence
4/ L’engagement écologique : un facteur de différenciation positif dans le recrutement et la fidélisation du personnel, avec des impacts sur la qualité de vie et des conditions de travail pour l’industrie de demain
5/ Une implication opérationnelle avec la mise en œuvre d'actions concrètes (mesure de la consommation, création de comités RSE, remplacement de flottes de véhicules, systèmes mécaniques avec moins de friction…)
6/ Des obstacles financiers qui soulignent la complexité du processus et la nécessité d’une meilleure visibilité sur les financements, l'obtention de subventions, des démarches de conseils et d’accompagnement adaptés
7/ Un besoin d’accompagnement à la montée en compétences avec des besoins de formation croissants
8/ Une attention est à porter quant à l’équilibre entre l’exploitation du numérique au service de l’accélération de la transition écologique, et les impacts générés comme partie du problème (effets rebonds)
La décarbonation de l’économie est un pan important de la transition écologique. Ce volet fait l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics : un nombre croissant de réglementations vise à limiter l’empreinte carbone des secteurs d’activité à horizon 2050. Dans le cadre de la stratégie bas carbone nationale et européenne, plusieurs filières doivent se conformer à des objectifs de réduction des émissions de CO2 qui sont à engager à court terme et seront à poursuivre à horizon 2050. La réduction des émissions de CO2 passe par la décarbonation de la propulsion des vecteurs et l’efficacité énergétique de l’ensemble des fonctionnalités, évolutions nécessitant des technologies de rupture. Les donneurs d’ordre attendent de leurs fournisseurs une montée en compétences répondant à cette transition. L’enjeu est soutenu par le plan de relance à travers des aides aux investissements en technologies vertes.
Les efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 des procédés intensifs en énergie
Il y a un enjeu majeur pour la Sidérurgie/Métallurgie, cette industrie faisant partie des plus émettrices ; des investissements importants sont à engager pour permettre cette transition tout en demeurant compétitif vis-à-vis de pays n’ayant pas d’objectif bas carbone (risque de délocalisations et/ou de hausse d’importations carbonées)
--> Développement de procédés de décarbonation (capture de carbone, recours aux énergies alternatives) et d’efficacité énergétique (stockage de carbone)
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne la R&D relative à la décarbonation des procédés
La décarbonation de l’économie est un pan important de la transition écologique. Ce volet fait l’objet d’une attention particulière des pouvoirs publics : un nombre croissant de réglementations vise à limiter l’empreinte carbone des secteurs d’activité à horizon 2050. Dans le cadre de la stratégie bas carbone nationale et européenne, plusieurs filières doivent se conformer à des objectifs de réduction des émissions de CO2 qui sont à engager à court terme et seront à poursuivre à horizon 2050. La réduction des émissions de CO2 passe par la décarbonation de la propulsion des vecteurs et l’efficacité énergétique de l’ensemble des fonctionnalités, évolutions nécessitant des technologies de rupture. Les donneurs d’ordre attendent de leurs fournisseurs une montée en compétences répondant à cette transition. L’enjeu est soutenu par le plan de relance à travers des aides aux investissements en technologies vertes.
Les efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions de CO2 dans les transport
La réduction des émissions de CO2 renvoie à des enjeux technologiques (maturité, coûts) ayant un moindre impact environnemental (faibles émissions ou zéro émission), de contrainte d’usage (autonomie, vitesse de recharge des batteries), d’évolution des usages (écoconduite), d’infrastructures disponibles (recharge batteries, hydrogène) et de choix politique (hydrogène décarboné).
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
Pour réussir la transition écologique qui s’accélère, les industriels et leurs écosystèmes doivent mettre en œuvre et développer des process et des produits plus sobres en ressources et à faible impact sur l’environnement et la biodiversité, impliquant notamment de réduire la consommation d’énergie et de renforcer l’approche « cycle de vie ». Ce défi expose les filières à des contraintes réglementaires et normatives, mais ouvre également des opportunités : nouveaux marchés, différenciation de l’offre et évolution d’image au regard d’une conscience écologique montante dans la société.
La transition écologique renvoie à des choix politiques et pose la question d’un équilibre à trouver entre orientations vers la sobriété (voire à la décroissance) et redynamisation industrielle. Une synthèse pourrait notamment être de favoriser les chaines de valeur courtes et locales.
6 THEMES RESSORTENT :
Le renforcement de l’écoconception et de l’efficacité énergétique
L'enjeu est de maîtriser la consommation de ressources (énergie, matières, eau) sur le cycle de vie du produit (limiter au maximum l’impact d’un produit, de sa conception à sa fin de vie) ;
Il s'agit également de renforcer les possibilités de durabilité, réparabilité, maintenabilité, réemploi ou recyclage des pièces et composants.
L’optimisation énergétique des sites et des process et l’écologie circulaire sont également recherchées
L'intégration d’intrants issus de matières premières recyclées
L'enjeu est d’intégrer les intrants recyclés ou renouvelables permettant de diminuer les besoins en produits importés (logique de souveraineté), la pression matières premières et l’empreinte carbone associée
Le développement de filières de recyclage et d’activités de rétrofit
L'enjeu est de développer et/ou de structurer les filières de recyclage nécessitant des innovations technologiques et des investissements de capacités, avec l’objectif de parvenir à des modèles économiques viables (production de masse, automatisation, ex. batteries électriques)
Il s'agit également de développer des activités de rétrofit (remise à neuf ou conversion) : Mécanique, Métallurgie, Automobile
La diffusion d’une culture d’achat et de consommation bas carbone (ménages et intrants de production)
L'enjeu sociétal est de valoriser le « made in France » par exemple à travers des indicateurs des directions des achats intégrant l’empreinte carbone des produits et des sites ; de renforcer la communication grand public de sensibilisation lors des décisions d’achat ; d'intégrer davantage de clauses sociales et environnementales dans la commande publique de l’Etat (point prévu au plan de relance)
Le renforcement de la compétitivité des entreprises passe par de la création continue de valeur (nouvelles offres) et par des nouvelles manières de concevoir les produits et process pour réduire les coûts et gagner en performance individuelle et collective
Le développement de la création de valeur
Le développement de l’optimisation du cycle de vie en phase de conception
Le traitement numérique des données (IA, modélisation, simulation, jumeaux numériques, virtualisation...) génère des potentiels d’optimisation des process de fabrication et de maintenance tant de l’outil industriel que des produits. La conception optimisée du cycle de vie amène à réduire les délais lors des phases opérationnelles :
LES FACTEURS CLES A MAITRISER, COMMUNS A TOUTES LES FILIERES DE LA BRANCHE, SONT :
Les facteurs clés à maîtriser, spécifique à la filière, sont :
Les facteurs clés à maîtriser, spécifique à la filière, sont :
Le facteurs clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne la R&D énergie et les calculs
Les facteurs clés à maîtriser, spécifique à la filière, sont :
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Les investissements dans des installations automatisées et robotisées sont engagés. De même, la fabrication de petites séries s’appuie, à minima, sur des machines à commande numérique, limitant des investissements difficiles à amortir
L’analyse et les suggestions d’amélioration des process grâce aux data sont en cours et à poursuivre, même si les temps d’analyse peuvent mobiliser trop largement l’encadrement
L’IA est prometteuse car elle peut permettre d’accéder rapidement à des gains de productivité ou de process en s’appuyant sur capteurs connectés et données de l’ERP déjà présents dans les entreprises. Néanmoins, l’investissement nécessaire et le retour sur investissement difficiles à évaluer resteront des freins selon la taille de l’entreprise
Si de nombreuses entreprises ont engagé la formation des encadrants intermédiaires, un accent est à porter sur l’appropriation des nouvelles tendances et modes de travail, pour gagner en efficacité relationnelle et opérationnelle.
En synthèse : Les sujets d’innovation porteront donc sur :
1/ Dans un marché industriel / mécanique globalement stable, les gains de productivité sont fondamentaux pour assurer la pérennité des entreprises et leur capacité à capter des marchés et des clients.
Ces gains sont nécessairement multiformes :
2/
La modernisation du parc machine et des équipements est un véritable enjeu d’autant que les montants des investissements restent sensibles
La dématérialisation semble être un sujet maitrisé même si le suivi et la mise à niveau restent un point de vigilance
Concernant les technologies en développement (industrie du futur), si les capteurs connectés, les robots et cobots équipent de plus en plus d’installations, le renforcement de certains cas d’usages par l’intégration de la fabrication additive et de l’IA, de façon rentable, nécessite d’être examinée
3/
Les nouvelles formes de travail impactent les pratiques, exigeant une transformation managériale pour passer d'une approche verticale à une organisation plus horizontale en réseau.
Les attentes résident dans l'adoption d'un management basé sur la confiance et dans la mise en place de tuteurs reconnus pour favoriser l'intégration et la fidélisation.
Néanmoins, les candidats sont de moins en moins nombreux à se positionner sur cette fonction, pourtant essentielle à la bonne
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne la fabrication additive métallique
Les facteurs clés à maîtriser, spécifique à la filière, sont :
7 THEMES RESSORTENT :
Le développement de la création de valeur
Le renforcement de la compétitivité des entreprises passe par de la création continue de valeur (nouvelles offres) et par des nouvelles manières de concevoir les produits et process pour réduire les coûts et gagner en performance individuelle et collective.
Le développement de l’optimisation du cycle de vie en phase de conception
Le traitement numérique des données (IA, modélisation, simulation, jumeaux numériques, virtualisation...) génère des potentiels d’optimisation des process de fabrication et de maintenance tant de l’outil industriel que des produits. La conception optimisée du cycle de vie amène à réduire les délais lors des phases opérationnelles :
Le développement de procédés améliorant délais, flexibilité et productivité
Les filières intègrent davantage d’automatisation et de robotisation pour certaines tâches ; cette évolution n’est toutefois pas généralisable : l’assemblage manuel de précision demeure incontournable pour certaines (ex. Mécanique, Electrique). En revanche, un degré élevé d’automatisation de la production peut constituer pour certaines filières un levier de relocalisation d’activités.
Par ailleurs, les filières ont davantage recours à des procédés numériques permettant d’assister les opérateurs :
D’autre part, les procédés de conception et fabrication permettant d’accroître la performance se diffusent :
L'amélioration de la performance collective par l’optimisation des délais
Le développement de l’innovation organisationnelle et managériale
L’innovation managériale prend de plus en plus d’importance comme levier de performance et d’attractivité pour l’entreprise
Les processus intégrant une dimension collective et partenariale prennent de plus en plus d’importance dans la création de valeur (conception et commercialisation de biens et services innovants ; open innovation, écosystème d’innovation)
Les entreprises de toute la chaîne de valeur doivent s’inscrire dans une démarche de transformation numérique pour accroître leur performance et faire évoluer leurs modèles économiques. Le numérique est porteur d’innovations permanentes et à portée systémique, avec en corollaire des enjeux forts de cybersécurité
Le développement d’innovations à portée systémique permises par l’association de l’humain et du numérique
Pour toutes les filières, le numérique est au cœur d’innovations qui transforment :
Le numérique fait évoluer les manières d’assurer les fonctions de l’entreprise et les interactions avec l’écosystème. L’innovation naît de l’enrichissement des compétences traditionnelles par le numérique, du partage des rôles entre l’humain et la machine avec l’information au cœur du système, exemples :
Le renforcement de la cybersécurité
Enjeu majeur en lien avec le développement du numérique sur toute la chaîne de valeur, qu’il s’agisse de la sécurité des sites, des processus de production ou des produits et offres de service délivrées durant leur usage.
Cet enjeu est renforcé par la hausse des attaques malveillantes d’une part, le développement à venir des échanges de données dorénavant permises par la 5G d’autre part.
LES FACTEURS CLES A MAITRISER, COMMUNS A TOUTES LES FILIERES DE LA BRANCHE, SONT :
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne les formations électroniques
Les principaux constats pour les industries mécaniques sont :
Une concurrence de main d’œuvre avec les pays frontaliers
Un financement des formations qui devient une préoccupation, en particulier pour les PME de plus de 50 salariés qui n’ont plus accès aux mêmes modalités depuis la réforme de la formation de 2018 : soit un risque de ralentissement dans l’accompagnement à la montée en compétences et dans la création de valeur.
Un levier de reconnaissance des tuteurs
Concernant l’alternance, elles s’orientent majoritairement vers les formations tertiaires et de vente (56%), et seulement 32% d’entre elles se dirigent vers les technologies industrielles, mécaniques, électricité et informatique (76% pour les hommes).
Les entreprises moins impactées par les départs en retraite ont anticipé le renouvellement de main d’œuvre en intégrant des alternants notamment, ou en formant du personnel interne pour assurer le transfert des savoirs et la continuité de service.
En synthèse, les industries mécaniciennent et la branche de la métallurgie, ancrent l'accompagnement des compétences comme fondamental pour s'inscrire dans une industrie forte et attractive :
1/ Attractivité, recrutement, fidélisation : Les entreprises de la mécanique sont confrontées à une pénurie de profils qualifiés, renforcée par un niveau de compétences à faire évoluer.
Cette réalité, constatée au niveau de la Branche de la métallurgie, génère une concurrence accrue entre employeurs concernant les profils les plus expérimentés, accentuée par des niveaux de rémunération et des conditions de travail insuffisamment attractifs».
La complexification des postes, des marchés et les attentes personnalisées des candidats renforcent les difficultés.
2/ Compétences, Formation, Certification : Le besoin d'acquérir des compétences spécifiques est nécessaire pour faire face à la diversification, à la pénurie de main-d'œuvre qualifiée, aux transitions numérique et écologique.
Il parait également comme crucial de renforcer l'attractivité des formations aux métiers traditionnels tout en valorisant les formations de niveau technicien.
Les difficultés liées au financement des formations représentent une problématique pour accompagner la montée en compétences des professionnels.
3/ Alternance : L'alternance émerge comme un levier de plus en plus efficace pour anticiper les besoins de recrutement, maintenir l'apprentissage des compétences traditionnelles, et introduire de nouvelles qualifications en lien avec les nouvelles technologies.
Cependant, les difficultés d'attractivité subsistent, en particulier pour les métiers techniques et manuels, renforcées par un défaut d'harmonisation des rythmes centres de formation / entreprises.
De même, l'alternance représente un réel investissement et l'incertitude sur la poursuite de la relation contractuelle après la formation demeure.
4/ Féminisation : Bien que la féminisation soit envisagée comme une réponse aux difficultés de recrutement aussi bien au niveau des entreprises de la mécanique qu’au niveau de la Branche de métallurgie, la situation reste globalement stable.
L'INSEE souligne une baisse des femmes sur les métiers peu qualifiés et une progression dans les emplois plus qualifiés par définition moins nombreux.
Les femmes occupent principalement des postes administratifs, et une représentation moindre en production . Encourager l'intérêt des femmes et diversifier les métiers accessibles apparaissent comme des solutions.
5/ Pyramide des âges : La pyramide des âges au sein de la métallurgie indique un manque de salariés de moins de 30 ans pour assurer la relève.
Les départs en retraite impactent 45% des entreprises de la mécanique, nécessitant un renouvellement de main-d'œuvre.
L'intégration d'alternants se présente ainsi comme une solution anticipatrice, mais l’attractivité des candidats demeure un défi.
Le facteur clé à maîtriser, spécifique à la filière, concerne la recherche des matériaux
4 THEMES RESSORTENT :
Les filières sont exposées à une insuffisance de compétences disponibles et qualifiées et à une faible attractivité qui constitue un frein au développement des entreprises. Les difficultés d’attractivité sont plus vives dans les territoires peu denses que dans les territoires urbains et pour les PME/fournisseurs (vs entreprises plus grandes et donneurs d’ordre).
L'attractivité et fidélisation
Face à la pénurie d’expertises très techniques et au coût élevé de la fidélisation (rémunération, formation pour les PME de plus de 50 salariés, turn-over) et dans une perspective de réindustrialisation, les filières doivent et devront jouer sur plusieurs leviers complémentaires :
Les filières évoluent dans un environnement complexe, en évolution continue. Pour demeurer performantes et attractives, elles doivent disposer des compétences essentielles pour accompagner les transformations qu’elles mettent en œuvre. L’anticipation des besoins en compétences et formations (contenus et méthodes) est un enjeu à l’échelle des entreprises et des filières.
L'anticipation des besoins en compétences et incidences sur la formation
L’enjeu du système de formation est de s’adapter au plus près des besoins des filières : le redéveloppement de filières en Electronique est crucial et urgent ; le double apprentissage technique et numérique est une nécessité. L’enjeu de financement des formations demeure prégnant compte tenu des évolutions anticipées des besoins
L'adaptation de l’offre de formation au plus près des besoins, en contenus et dispositifs
Le financement des formations initiales et continues
LES FACTEURS CLES A MAITRISER, COMMUNS A TOUTES LES FILIERES DE LA BRANCHE, SONT :
Sept activités ressortent comme critiques à l’échelle de la Branche Métallurgie. Il s’agit des activités indispensables à préserver ou développer pour répondre aux besoins finaux du pays et maintenir un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire, aujourd’hui et demain :
Les activités électroniques liées aux industries mécaniques peuvent être liées aux machines de productions ou à l’intégration de cartes, processeurs, dans les ensembles fabriqués. Dans ce cas, les temps de développement sont souvent plus importants que les temps de réalisation.
L’ ingénierie devient donc fondamentale tout autant que la capacité à se fournir en systèmes complexes, puis à avoir les compétences d’assemblage et de réparation le cas échéant.
Les enjeux de recherche de fonctions nouvelles, de diminution des coûts, de plus d’intégration des microsystèmes, des MEMS, microsystèmes électromécaniques ( combinaisons de savoirs faire électronique, informatique, chimique, mécanique, optique et de connaissance des matériaux : silicium, métaux, polymères, ...), des nanotechnologies sont également des enjeux.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 2 points sont aussi à développer pour ce qui concerne les activités électroniques :
Développement d'un écosystème d'offreurs de solutions :
La transition écologique s’impose à toutes les filières, elle est principalement mise en place par des efforts d’efficience et d’économies sur les processus, les transports, l’énergie, les matières, ...
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour accélérer la transition écologique :
Ecosystème :
réalisant des actions locales visibles lui permettant d’attirer des profils sensibles à ces aspects
Avec les sources d’entrées dues aux machines connectées et à des systèmes intégrant des objets connectés (IIoT), les entreprises sont plus vulnérables. Les organisations les plus performantes peuvent se doter d’un service dédié ou de consultants externes – les règles d’intrusion physiques ne doivent pas être négligées.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour l’axe cybersécurité :
Partage de données clients :
Partager des données ou des outils collaboratifs en temps réel (jumeaux ; partages de données...)
Sécuriser leur supply chain (et donc mesurer la vulnérabilité globale de leur écosystème)
Pour les TPE et PME à minima appliquer les consignes suivantes : https://www.entreprises.gouv.fr/files/files/secteurs-d-activite/numerique/anssi-guide-tpe_pme-cybersecurite.pdf
https://www.bpifrance.fr/sites/default/files/2021-12/Guide%20de%20cyber.pdf
Les entreprises ont su passer de machines traditionnelles aux commandes numériques et maintenant connectées voire en réseau. Si les investissements technologiques restent un sujet en termes de retour sur investissement (ROI), la maitrise de la data disponible est sans doute encore trop embryonnaire ou trop limitée aux principaux indicateurs :
Taux de Rendement Global (TRG) – (performance des lignes) y/c les arrêts planifiés ; Taux de Rendement Synthétique (TRS) : temps d’utilisation d’un outil de production (fiabilité) ; Taux de Productivité, performance des ressources / processus ; indicateurs de délais ; gestion des stocks ; et consommation des machines avec divers capteurs connectés (IIoT). Cependant la capacité à s’assurer de la fiabilité des data, à corréler les indicateurs, analyser, modifier les processus, et les communiquer requiert d’autres compétences que l’utilisation à minima d’ERP de plus en plus performants.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont à développer pour l’exploitation de la data :
Compétences : compréhension des données et simulation
Implication de l'opérateur dans la chaine de valeur :
Les activités et métier suivants sont concernés :
Maquette numérique
La création de valeur pour les industries mécaniques est un enjeu stratégique qui implique plusieurs aspects tels que l’innovation, la compétitivité, la responsabilité sociale et environnementale, la satisfaction des clients.
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont notamment à développer pour le renouvellement de la création de la valeur :
Piste possible : L’utilisation d’un parc machine performant combiné aux technologies numériques, (big data, robotique, ...) pour optimiser les processus, permet de réduire les coûts, d’augmenter la Valeur Ajoutée, d’accroitre son attractivité et de rester à jour de compétences.
Pistes possibles :
L'accès au marché pour les industries mécaniques dépend de la compétitivité qui regroupe les coûts de production liés à la performance industrielle, la fiscalité, l’énergie, la facilité d’approvisionnement des matières et des composants,.ainsi que de la capacité à offrir un avantage différenciant (taux de service, fiabilité, conception, innovation procédé, maitrise matériaux, R&D...)
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer pour faciliter l’accès au marché :
L’intégration de compétences QHSE va devenir crucial pour les entreprises, pour maitriser et/ou correspondre avec facilité aux services équivalents des donneurs d’ordres ou répondre techniquement aux marchés / appels d’offres.
Le développement de l’interculturalité s’inscrit comme nécessité, accessible via notamment la formation continue
Pistes possibles : L’intégration progressive de profils avec une appétence à se tourner vers « l’extérieur » est déterminante.
La maîtrise des savoir-faire traditionnels, dans l'ensemble des secteurs de la branche de la Métallurgie, reste indispensable pour maintenir la qualité de la production, notamment dans un contexte industriel évoluant vers davantage de postes numérisés et de procédés numériques.
Les activités concernées sont :
Comme dans de nombreuses filières, la montée en compétences sur des postes assistés par la machine ou en supervision de systèmes, ne doit pas occulter la nécessité pour les entreprises de disposer en nombre suffisant des métiers et/ou compétences traditionnels historiques : opérateur, régleur, technicien de forge, soudeur, chaudronnier...
Pour préserver / développer la souveraineté (du pays) et un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire grâce à une performance accrue, 3 points sont aussi à développer :
Pistes possibles :
Encourager la mobilité interne sur les postes ou les rôles : pour favoriser l’engagement et la transmission
Les activités suivantes sont concernées :
Contrôle qualité :
Les activités, compétences, métiers suivants sont concernés :
Chaudronnerie, tuyauterie, soudure :
Montage, câblage :
Usinage, fabrication additive :
Les activités, compétences, métiers suivants sont concernés :
Maintenance industrielle, maintenance d'équipements :
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