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- CAP préparation et réalisation d'ouvrages électriques
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Toutes les ressources présentes ici proviennent des études menées par l'Observatoire de la métallurgie depuis 2012. Vous y retrouverez l'essentiel : l’évolution des métiers, des compétences et des qualifications dans les différents secteurs de la métallurgie.
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Métier d'origine : monteur - câbleur Passerelle possible vers le métier : bobinier en matériel électrique
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté importante
Métier d'origine : mécanicien de maintenance industrielle Passerelle possible vers le métier : bobinier en matériel électrique
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté importante
Métier d'origine : conducteur d'équipements industriels Passerelle possible vers le métier : bobinier en matériel électrique
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté importante
Métier d'origine : électricien de maintenance industrielle Passerelle possible vers le métier : bobinier en matériel électrique
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
Pas de module de formation dédié au bobinage en formation initiale
--> Difficulté faible
Métier d'origine : électromécanicien Passerelle possible vers le métier : bobinier en matériel électrique
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
Pas de module de formation dédié au bobinage en formation initiale
--> Difficulté faible
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Commentaires sur l'offre de formation existante :
Métier d'origine : ouvriers des industries de process (chimie, verre, IAA, papier) Passerelle possible vers le métier : monteur - câbleur
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté importante
Métier d'origine : ouvrier non qualifié de montage électronique Passerelle possible vers le métier : monteur - câbleur
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté importante
Métier d'origine : monteur - assembleur mécanique Passerelle possible vers le métier : monteur - câbleur
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté faible
Métier d'origine : ouvrier textile Passerelle possible vers le métier : monteur - câbleur
Ecart de compétences décelé et parcours professionnalisation possible :
--> Difficulté faible
Les entreprises industrielles font face à 4 défis majeurs :
Ces défis sont interdépendants. Voici quelques cas structurants :
L’Insee mesure la valeur ajoutée par secteur (non par filière) avec toutefois des incomplétudes ou des regroupements de secteurs pour des raisons de secret statistique. Ces données statistiques permettent de comparer la valeur ajoutée créée rapportée au nombre de salariés en ETP selon la catégorie d’entreprises et le secteur ainsi que vis-à-vis de l’ensemble de l’industrie manufacturière (indice 100). La comparaison montre que les filières de la métallurgie se situent toutes en dessous de la moyenne de l’industrie manufacturière pour tout ou partie des entreprises selon la taille et le secteur : renforcer leur valeur ajoutée est un défi déterminant.
En 20 ans, la France s'est davantage insérée dans les Chaînes de Valeur Mondiales (CVM) permettant aux entreprises de développer des activités à plus haute valeur ajoutée et d’accroître leur compétitivité à l’export et sur le marché intérieur.
Toutefois, des phénomènes de concentration d’approvisionnement sont intervenus, créant des vulnérabilités : les approvisionnements issus de certaines terres rares pour l’Electronique sont ainsi concentrés sur un nombre réduit de pays non européens
La production industrielle en France inclut 50% d'intrants étrangers en Electronique et Matériels de transport et près de 40% en Sidérurgie/Métallurgie
Les produits métallurgiques dont certaines terres rares utilisées dans l'électronique de pointe font partie des produits vulnérables
Le graphique qui suit a pour source le ministère de l’Economie, des Finances et de la Relance : Étude publiée en décembre 2020 dans la cadre du débat relancé à l’occasion de la crise Covid sur les dépendances de la production nationale vis-à-vis des approvisionnements depuis l'étranger
La crise économique liée à la Covid-19 a fragilisé des entreprises (reports de commandes, délais de paiement allongés, prospection à l’international limitée…) et s’avère d’une telle ampleur et durée qu’elle pose la question de la survie de nombre d’entreprises en particulier dans l’aéronautique civile (horizon 3-5 ans). La crise pose par ailleurs la question des possibilités de réindustrialisation pour limiter les dépendances et ne pas risquer de porter atteinte à la souveraineté de la France.
La (ré)industrialisation dans une logique de souveraineté et résilience économique
Les risques d’atteinte à la souveraineté industrielle concernent trois filières quant aux liens de dépendance avec l’Asie : il s’agit de la métallurgie, de l’électronique et de l’automobile. Avec la crise de la Covid-19, la fragilisation financière de certaines entreprises met à mal la résilience des filières Métallurgie et Electronique ; les difficultés sont décuplées pour l’électronique du fait des difficultés d’approvisionnements de Chine. Ces défis sont pris en compte dans le plan de relance :
Pour la métallurgie, il faut prévoir un renforcement des conditions d’approvisionnement durable et compétitif en matières primaires et secondaires ; renforcement de la production de métaux et alliages essentiels à l’industrie ; enjeu de valorisation de la production bas carbone en France
Les pouvoirs publics français et européens se doivent en tant que donneurs d’ordre, régulateurs et/ou coordinateurs de politique publique de mettre en place un cadre industriel cohérent et porteur afin de donner de la visibilité aux investissements de long terme et pour soutenir la compétitivité des acteurs européens vis-à-vis des autres zones.
L'adaptation des actions de régulation et de coordination de l’Union Européenne
Il y a un enjeu de maintien des actions antidumping sur les importations d’acier et d’aluminium dans un contexte de cours mondiaux très bas guidés par la stratégie chinoise de surcapacité
Les facteurs clés à maîtriser, spécifiques à la filière, sont :
Eco-conception, filières de recyclage, nouveaux matériaux et nouvelles propulsions constituent des défis industriels pour des solutions économiquement viables, tout en favorisant un renouveau industriel. La compétitivité bas carbone de l’Europe est néanmoins un point de vigilance.
A l’échelle de l’entreprise ou des zones industrielles, dans les territoires la transition écologique reste à approfondir et à généraliser à tous pour optimiser les ressources, limiter les externalités et répondre aux attentes des salariés et de la société.
Objectif 2050 et Green Deal européen implique une accélération institutionnelle. La priorité est donnée par les politiques publiques à la décarbonation des produits et des processus de production, nécessitant de nouvelles technologies
Décupler les gains d’innovation suppose de lier progrès technologiques et inventivité managériale et organisationnelle, à l’échelle de l’entreprise, TPE, PME, ETI ou collective dans un territoire.
Ce défi implique de stimuler la capacité d’innovation dans tous les domaines (offre, méthodes), en se saisissant des opportunités permises par le numérique et en encourageant la dynamique collaborative, en interne et avec
l’écosystème.
La notion d’innovation s'élargit : Elle concerne non seulement les produits et les technologies, mais on parle aussi d'innovation en termes de méthodes, de management et de dynamique collaborative au sein des filières
Il s'agit d'attirer des collaborateurs, en tenant compte des viviers locaux, en rendant lisibles les évolutions de l’industrie et en donnant du sens à ses métiers est structurant. L’implication des entreprises est déterminante.
Les besoins en compétences actuelles et de demain restent importants. L’anticipation des besoins, le recrutement
des moins de 30 ans, l’adaptation coordonnée des formations sont clés, à travers les GPECT/GEPP et la contribution active des entreprises.
Au-delà de la problématique du rééquilibrage de la pyramide des âges, sont intégrées des notions d’anticipation des besoins, de formation des collaborateurs, d’attractivité de la branche par le sens donné à ses métiers en impliquant les entreprises.
Les filières ont toutes une part de moins de 30 ans inférieure au reste de l’industrie, en moyenne de 4 points en 2019. L’enjeu d’équilibrage de la pyramide des âges est plus prégnant lorsque la part des plus de 50 ans est par ailleurs élevée. La plupart des filières disposent de marges de manœuvre concernant la progression de la part de femmes dans les effectifs.
L’enjeu de rajeunissement relatif des effectifs est plus important pour les filières Métallurgie et Electrique-Electronique & Numérique : faible part relative des moins de 30 ans et part relative élevée des 50 ans et plus
En 2014, le secteur Electronique se distinguait par une part importante des 50 ans et plus parmi les Ingénieurs et Cadres techniques (11% vs 5% pour la branche Métallurgie)
L’enjeu d’élévation de la part des femmes dans les effectifs vaut pour toutes les filières hormis l’Electrique-Electronique & Numérique ; il est par ailleurs plus important pour les filières Métallurgie et Mécanique
Ce constat ne tient pas compte des niveaux de qualification des femmes qui sont plus élevés dans la Branche Métallurgie que dans le reste de l’industrie
La filière automobile française est positionnée sur de l’assemblage et de la R&D, domaines sensibles en termes de maîtrise technologique et de souveraineté au regard de la transition énergétique des véhicules. La R&D en véhicule numérique est jugée clé pour demeurer au niveau de la concurrence mondiale.
La filière Automobile française, c'est environ 2,4% des véhicules assemblés au monde et 3% du CA du top-32 mondial des équipementiers.
Evaluation de son positionnement :
Bon positionnement pour ce qui concerne du fait :
Positionnement moyen du fait :
Positionnement non favorable du fait :
La filière ferroviaire française dispose d’une chaîne de valeur complète lui permettant d’occuper les tous premiers rangs mondiaux. Toutefois, face à une compétitivité qui s’érode, l’excellence opérationnelle, les savoir-faire fondamentaux et la maîtrise technologique de l’électronique sont des activités clés.
La filière Ferroviaire française représente environ 3,5% du CA mondial en système ferroviaire (matériel roulant, équipements de matériel roulant, signalisation, infrastructure) :
Evaluation de son positionnement :
Bon positionnement pour ce qui concerne :
Positionnement moyen pour ce qui concerne :
Positionnement non favorable :
La filière naval / EMR dispose d’une chaîne de valeur complète et duale lui conférant une position de premiers plans au niveau mondial en exportations militaires, avec des enjeux de souveraineté à la clé.
La filière métallurgique française représente environ 10% du CA mondial :
Evaluation de son positionnement :
Bon positionnement pour ce qui concerne :
Positionnement moyen pour ce qui concerne :
La crise COVID a souligné les dépendances vis-à-vis des chaînes de valeur
L’insertion des filières françaises dans les chaînes de valeur internationales traduit leur contribution à l’économie mondiale. La contrepartie en est la dépendance vis-à-vis des maillons amont.
Cette dépendance devient un risque lorsqu’elle est concentrée sur un petit nombre d’acteurs ou de pays avec lesquels les approvisionnements peuvent être contraints voire interrompus par des risques exogènes (instabilité géopolitique, risques climatiques…).
La crise COVID et le Plan de relance ont eu pour effet d’accélérer voire d’accentuer à court terme les 4 défis de la Métallurgie :
Résilience :
L'aéronautique militaire et le spatial, le ferroviaire, la navale et certaines activités en mécanique et électrique sont assez peu impactées par la baisse de la demande.
Ces secteurs bénéficient du soutien du plan de relance toutes filières : PGE, baisse de l’impôt de production, réindustrialisation en Sidérurgie, Electronique (plan résilience) et Automobile.
Adaptation :
Elle concerne l''allongement des délais de paiement, de livraison en puces électroniques, les diversifications filière et hors filière. Pour les activités le plus impactées : moindre capacité à investir et développer et, pour quelques unes, fermetures de sites et transferts de production.
Résilience :
Cet objectif est prioritaire dans l'Automobile et confirmé dans les autres filières
•Soutien du plan de relance : aide aux investissements toutes filières en décarbonation des sites (Métallurgie), technologies vertes (hydrogène vert, Automobile, Aéronautique), économie circulaire, recyclage et réincorporation de matériaux recyclés (toutes filières) infrastructures (Ferroviaire, Naval)
Adaptation :
Certains investissements sont décalés dans le temps en Aéronautique civile (d’après les entretiens et l'enquête-étude en Occitanie).
Résilience :
Dans l'aéronautique, et l'Electrique-l'Electronique-le Numérique, il y a des nouveaux produits et services.
Dans toutes les filières, il y a poursuite des activités de R&D et BE.
On assiste au développement du télétravail, des outils virtuels, des solutions web nomades, de l’équipement numérique, de la cybersécurité.
Soutien du plan de relance dans toutes filières : subventions aux investissements de modernisation de l’outil, à l’acquisition d’équipements de fabrication additive, robotique, cobotique, réalité virtuelle et augmentée, de logiciels de conception (pour PME et ETI), aides au maintien en emploi des chercheurs publics, soutien aux technologies en numérique, spatial
Adaptation :
Les activités de R&D externalisée sont suspendues dans les filières Aéronautique et Automobile.
Résilience :
Dans toutes filières on voit se développer : de nouvelles conditions de travail (mesures sanitaires, télétravail) ; de la flexibilité et polyvalence des salariés ; le télétravail comme facteur d’attractivité des ingénieurs ; de moindres tensions locales en recrutements ; des formations en ligne et une appétence pour les formations en ligne
•Soutien du plan de relance pour toutes filières : APLD, aides à l’embauche de jeunes et d’alternants, subventions aux actions de formation pendant l’activité partielle
Adaptation :
Pour toutes filières, elle concerne le management (gestion de l’autonomie et du suivi des équipes avec le distanciel, gestion de l’imprévu). Avec le télétravail, un socle de compétences numériques et informatiques devient indispensable.
La force de la filière est sa maîtrise de l’ensemble de la chaîne de valeur (position quasi unique au niveau mondial)
Les faiblesses de la filière sont dues à :
Les forces de la filière sont :
La faiblesse de la filière est due à une forte dépendance aux approvisionnements étrangers en électronique suite à la déstructuration historique de la filière
La force de la filière est un positionnement sur des marchés spécifiques et de pointe
Les faiblesses de la filière sont :
Les forces de la filière sont :
Les faiblesses de la filière sont :
Les activités électroniques qui irriguent de nombreux secteurs industriels sont au cœur des 4 défis de la branche Métallurgie.
Les activités concernées sont :
*activité également évoquée dans l'activité critique « L’innovation pour répondre aux défis de la transition écologique »
Les activités suivantes sont concernées :
Industrialisation et fabrication électronique
Les activités suivantes sont concernées
Conception physique en électronique
Ingénierie électronique (produits, logiciels)
Conception de systèmes électronique embarqués
Les activités suivantes sont concernées :
Electronique de puissance (conception, tests, contrôles)
Les activités suivantes sont concernées :
Electrotechnique
La force et l'horizon d'impact de cette activité
Les leviers de cette activité sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
La transition écologique s’accélère, incitant ou obligeant les industriels à revoir, parfois profondément, leur offre de service et leurs processus industriels. L’ensemble de la chaîne de valeur est concerné, en amont et en aval.
Les activités concernées sont :
* Activité également évoquée dans « Activités électroniques»
L'activité suivante est concernée :
Culture environnementale socle
Les activités et métiers suivants sont concernés :
Conception, production et tests de composants et systèmes pour motorisations hydrogène
Recherche d’optimisation énergétique
Conception et gestion du cycle de vie des produits et composants
Les activités suivantes sont concernées :
Savoir-faire électronumériques
Les activités suivantes sont concernées :
Industrialisation de l’usage d’intrants issus du recyclage
Les activités ou métiers suivants sont concernés :
Electromécanique (conception, installation et maintenance de systèmes mécaniques et électriques)
Les activités ou métiers suivants sont concernés :
Conception et production de composants et systèmes pour nouvelles motorisations et énergies
Recherche et production de nouveaux matériaux (métalliques et composites)
La force et l'horizon d'impact de cette activité critique sont :
Les leviers de cette activité critique sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
Face à la numérisation croissante des méthodes (conception, production, maintenance, vente…) et au développement de la connectivité des produits, les risques liés aux cyberattaques sont très élevés.
Les activités concernées sont :
Les activités et métier suivants sont concernés :
Gestion de la cybersécurité
La force et l'horizon d'impact de cette activité critique sont :
Les leviers de cette activité critique sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
La transition numérique conduit les industriels à améliorer l’outil de production et les process pour gagner toujours plus en compétitivité, individuelle ou collective. L’exploitation des données numériques à très haut niveau conditionne en bonne part les offres innovantes et l’industrie de demain.
Les activités concernées sont :
Les activités suivantes sont concernées :
Gestion et exploitation des données numériques industrielles pour optimisation des process et méthodes
Les activités suivantes sont concernées :
Gestion et exploitation des données numériques des produits et services
Les activités suivants sont concernées :
Automatisation, robotisation des procédés
Les activités suivantes sont concernées :
Maintenance prédictive
La force et l'horizon d'impact de cette activité critique sont :
Les leviers de cette activité critique sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
Les innovations technologiques et la compétition accrue au niveau mondial génèrent un besoin régulier d’innovation, de changement et d’amélioration continue de la performance. La recherche d’excellence opérationnelle est critique pour le maintien de la compétitivité de l’industrie.
Les activités concernées sont :
Les activités et métier suivants sont concernés :
Conception et vente de solutions globales, complexes
L'activité suivante est concernée :
Culture projet :
Les activités suivantes sont concernées :
Excellence opérationnelle
Ingénierie industrielle (transposition de l’ innovation en production)
Les activités suivantes sont concernées :
Conduite du changement, gestion de crise
La force et l'horizon d'impact de cette activité critique sont :
lI s'agit d'une criticité actuelle et qui pourrait s’infléchir à l’avenir en cas de succès dans le changement de culture d’entreprise
Les leviers de cette activité critique sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
Sur des marchés mondialisés et où la concurrence internationale s’intensifie, il devient clé pour les entreprises de maintenir leur capacité à vendre, acheter et piloter leur supply chain.
Les activités concernées sont :
Les activités et métier suivants sont concernés :
Gestion de la Supply Chain
Les activités et métiers suivants sont concernés :
Vente technico / commerciale
Achats et critères d’achat
Les activités et métiers suivants sont concernés :
Maîtrise des langues et cultures étrangères
La force et l'horizon d'impact de cette activité critique sont :
Il s'agit d'une criticité actuelle et qui pourrait s’infléchir à l’avenir en cas de succès dans le changement de culture métier
Les leviers de cette activité critique sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
La notion d’activité critique est complexe et délicate et la criticité toujours relative à un point de vue et à des dimensions. Sans prétendre unifier le débat économique, voire politique en ce domaine, un fil rouge a été retenu : identifier les activités des filières françaises de la branche Métallurgie qui sont indispensables à préserver ou à développer pour répondre aux besoins finaux du pays et maintenir un bon niveau d’activité et d’emploi sur le territoire aujourd’hui et demain.
Définie ainsi, la criticité relève de deux principales problématiques :
1er axe de criticité : les enjeux de souveraineté et de sécurité
L’ampleur de la crise de la COVID-19 a mis le projecteur sur les dépendances à l’égard d’acteurs ou de territoires étrangers et l’exigence de préserver notre indépendance dans certains domaines dits stratégiques (la Défense, l’aéronautique et le spatial, les composants électroniques pour ce qui concerne la Métallurgie). Les autres risques majeurs relatifs à la sécurité doivent aussi être contenus à l’échelle de la branche. Si les risques industriels font l’objet d’une vigilance ancienne, continue et maîtrisée, les enjeux de cybersécurité sont et seront majeurs.
2e axe de criticité : la capacité à capter les marchés actuels et futurs
Une activité peut être dite critique dès lors qu’elle est indispensable pour se maintenir sur le marché ou pour y être présent demain ou qu’elle procure un avantage compétitif majeur sur le marché européen ou à l’international.
Les facteurs d’accentuation de la criticité
La criticité est toujours multifactorielle et se joue au croisement des dimensions suivantes :
·(Non)-maîtrise de technologies clés ou des savoir-faire fondamentaux indispensables ;
·Contrainte de rythme de transition ou d’évolution (ex. calendrier des règlementations) et/ou leur portée rupturiste qui obligent à des choix stratégiques forts conditionnant des décisions d’investissement structurantes, qui exigent une capacité d’adaptation des filières dans les territoires et un accès au financement alors même que l’incertitude et le manque de visibilité peuvent être forts ;
·Difficulté à disposer des ressources humaines suffisantes en nombre et qualités en lien notamment avec l’écosystème de formation ;
·Dépendance à certains maillons clés de la chaîne de valeur ou à des maillons fragiles sur le territoire ; la force des interdépendances sectorielles peut également accentuer la criticité d’une activité à l’échelle de la branche.
Les activités suivantes sont concernées
Usinage / fabrication additive :
La force et l'horizon d'impact de cette activité
Il s'agit d'une criticité :
Les leviers de cette activité sont :
Les principaux leviers d’accompagnement de cette activité critique sont :
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